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gabrilena + steady love, so few come and don't go.

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 gabrilena + steady love, so few come and don't go.

~ LES JOIES DE LA COLOCATION SUR NEIGHBOURDHOOD STRIFES. ~

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sfinga - membre
Magdalena Meads
Magdalena Meads
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Je suis à Hamilton depuis le : 29/11/2015 et j'ai déjà échangé : 43 sms. Sur le web, on me connaît sous le pseudo de : anaelle. On me dit souvent que je ressemble à : kaya scodelario. D'ailleurs, mon avatar est de : chevalisse. gabrilena +  steady love, so few come and don't go. 710169tumblrmpad6k7Ufz1qav2ffo4250 Dernièrement, j'ai fêté mes : vingt-deux ans. et concernant ma vie amoureuse, : je suis en couple depuis mes années lycée. Actuellement à l'université, j'étudie : les soins infirmiers dans le but de devenir infirmière. Je vis dans le quartier de : à venir.
gabrilena +  steady love, so few come and don't go. Tumblr_n0ok5psCjE1somvqno2_250gabrilena +  steady love, so few come and don't go. Tumblr_n0ok5psCjE1somvqno6_250
+ the moment i saw you i knew it’d be the closest i’d get to being close. i didn’t know what to do with that feeling. HAPPINESS. and now, i seem to have loved you in numberless forms, numberless times, in life after life, in age after age. FOREVER.

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Sujet: gabrilena + steady love, so few come and don't go.
gabrilena +  steady love, so few come and don't go. Empty Jeu 24 Déc - 0:09

Steady love, so few come and don't go
Enfin. Tu mets un pied hors de cet amphithéâtre bondé après y avoir passé la journée enfermée, les fesses sur une chaise, la tête dans les bouquins. T’aimes ça, c’est vrai, et tu n’es pas du genre à courber le dos sous le poids du travail ou de quoi que ce soit d’autre. Ce n’est qu’aux environs de dix-huit heures que tu t’éclipse enfin, non sans un léger soulagement tout de même. Les heures tiraient en longueur, tant et si bien que t’as la fatigante impression d’avoir travaillé durant toute une semaine sans bénéficier ne serait-ce que d’une infime petit pause. Toutefois, contre toute attente, tu t’en accommodes plutôt bien. Question d’habitude tu supposes. Avec toi, c’était tout ou rien. T’as pour habitude de toujours te donner à fond dans tout ce que tu entreprends et c’est probablement de cela que tu tires aussi aisément tout le cœur que tu mets à l’ouvrage. Il paraît que la passion revient toujours au galop. Quoi qu’il en soit, tu dois bien avouer que cette journée avait été exténuante à souhaits, ce pourquoi tu rejoins ta chambre avec autant de motivation que lorsqu’il fallait sortir le chien le dimanche à l’époque où tu vivais encore chez tes parents. Plus de batterie. Le froid de l’extérieur se repend déjà dans le grand hall et tu ne peux réprimer un léger frisson. Instinctivement, tu prends une grande inspiration et te diriges vers la porte automatique qui s’ouvre à l’approche de tes pas. T’as à peine le temps de mettre un pied dehors que déjà un vent glacial te pénètre tout entière. Afin de te réchauffer comme tu le peux, tu croises fermement les bras sur ta poitrine, suite à quoi tu restes quelques instants immobile. Un épais brouillard s’étend à perte de vue, à tel point qu’il t’est difficile de distinguer le bâtiment d’en face que tu dois pourtant rejoindre. La lumière des lampadaires du campus, quant à elle,  perce avec une difficulté certaine l’épaisse brume qui surplombe présentement la faculté. Resserrant davantage la boucle de ton manteau, tu te lance sur le trottoir qui longe la cour afin de rejoindre ton chez-moi. Seule la cadence de tes pas est marquée par le léger claquement régulier de tes talons sur le pavé. Autour, tout est incroyablement silencieux. Même le souffle du vent est à peine perceptible tant il est en harmonie parfaite avec le silence qui pèse sur les environs. A croire que les autres n’ont pas aussi hâte que toi de rentrer. Tu ne distingues que trois ou quatre étudiants tout au plus qui semblent presser le pas eux aussi. Tu n’y prêtes toutefois pas attention et entreprends de te retrouver au chaud le plus rapidement possible.
Tu ouvres la porte de ta chambre d’un geste vif mais, contre toute attente, tu recules d’un pas alors que tu es à peine entrée. C’est comme si le brouillard t’avais consciencieusement suivi jusqu’ici, à la fuite du froid. A cela près que les irritantes effluves de nicotines (ou d’autre chose d’ailleurs) te font très vite comprendre qu’il ne s’agit en rien du glacial brouillard extérieur. Tu secoues frénétiquement les bras dans tous les sens, pensant naïvement que ces gestes suffiront pour faire fuir toute cette fumée hors de ta chambre. « Gabriel ? » Son nom t’échappe, comme une évidence. Tu ne l’as pas vu pourtant, mais tu sais qu’il est là. Et en effet, après avoir finalement traversé la pièce, tu le trouves assis sur un fauteuil, les deux pieds posés sur un autre, la clope entre les lèvres, le cendrier bien rempli. Tu lui adresses pourtant un sourire. Paradoxalement, oui, tu es heureuse de le trouver là. Malgré son air nonchalant et la tête déjà dans les nuages. Il le sait pourtant, tu ne supportes plus l’arôme acre du tabac, celui qui enivre pour mieux détruire de son corps insaisissable. Tu ne sais que trop les effets ravageurs de tous ces produits qui te rendent malade, même si ce n’est qu’au figuré. « Je sais qu’il fait un froid de canard dehors, mais je préfèrerais que tu ouvres la fenêtre la prochaine fois que tu as l’intention de passer une soirée fumette dans ma chambre. » Tandis que tu te diriges vers la dite fenêtre dans le but d’aérer la pièce, tu laisses échapper un léger rire pour le moins incongru. La vérité, c’est que la situation n’a rien de drôle et que cela t’embête plus que de raison. « Je peux savoir depuis combien de temps tu traînes ici ? Tu sais, à force, ce fauteuil va finir par avoir la forme de tes fesses. » tu lâches avant de lui adresser une petite moue rieuse. Au fond, toi-même tu ignores si tu en ris réellement ou s’il ne s’agit là que d’un reproche déguisé. Toujours est-il que tu souhaiterais qu'il t’écoute enfin, ne serait-ce que pour cinq minutes. Les cinq prochaines minutes. Aussi, le plus délicatement du monde, tu retires la cigarette de ses lèvres afin de la remplacer par un baiser.
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Sujet: Re: gabrilena + steady love, so few come and don't go.
gabrilena +  steady love, so few come and don't go. Empty Mar 29 Déc - 8:25
All men must dies (ouais, un titre quoi....)



feat : Jon & Ygritte

Les heures passent et se ressemblent toutes. Certes, tu aurais pu aller en cours, histoire de faire quelque chose de ta journée et d’apprendre un truc. Puis ça pourrait aussi t’éviter de planter ton année. Déjà que t’es pas mal à la bourre sur les autres vu que tu t’es planté une fois déjà de voie, faudrait peut-être pas abuser. Tu sais aussi que Magda compte sur toi et tu ne veux surtout pas la décevoir. Malgré tout, toute ta bonne volonté, parfois c’est plus fort que toi et tu te trouves des excuses pour remettre les choses aux lendemains. Comme ce matin. Tu étais pourtant bien partit. Après avoir passé la nuit avec ta copine, tu t’étais même levé en même temps qu’elle alors qu’elle commençait une heure avant toi. Mais une fois qu’elle avait passé le seuil de la chambre et que tu t’étais penché sur ton ordinateur le temps de regarder quelque chose, c’était fini. Tu avais finis par y passer la journée, regardant tout un tas de conneries sur internet, ou les derniers films que tu pouvais trouver. Encore une journée où tu as accomplis tout un tas de choses utiles….

Le pire c’est que tu sais que tu vas avoir droit à un sermon en rentrant, surtout vu le bordel que tu as mis dans la chambre de ta belle. Alors tout de même, tu surveilles l’heure, et avant qu’elle ne rentre, tu ranges un peu. Le minimum quoi. Avant de t’affaler dans un fauteuil et de te mettre à rouler le énième joint de la journée. Ça aussi faudrait que tu arrêtes, mais les mauvaises habitudes ont la vie durent et tu as un peu l’impression que ton oncle, que tu as toujours cru être ton père, est encore à tes côtés et non pas quelque part sur terre, à se cacher pour éviter de finir sa vie en prison. Oui tu sais que ce n’est pas une excuse, mais tu l’utilise quand même. Parce que tu estimes en avoir le droit. Le regard porté vers le bout de ciel que tu aperçois à travers la fenêtre – que tu n’as même pas pensé à ouvrir – tu ne vois même pas le temps qui passe et est légèrement surpris en entendant la douce voix d’une magnifique brune que tu n’arrives pas à voir, même en tournant la tête tellement il y a de fumée. Mince…

_ C’est moi-même.  

Tu attends quelques secondes avant de la voir apparaître à travers la fumée et immédiatement, un sourire s’affiche sur tes lèvres. C’est presque incontrôlable à chaque fois que tes yeux se posent sur elle. Sourire qui se transforme en grimace en entendant sa réprimande.

_ ‘Scuse moi je n’avais pas fait gaffe.

Tu te demandes ce qu’elle attend pour venir près de toi, que tu puisses la prendre dans tes bras et l’embrasser, mais elle a apparemment autre chose en tête. Lorsqu’elle parle de tes fesses, un sourire de vainqueur reprend le contrôle de tes lèvres.

_ C’est pour te laisser un souvenir quand je ne suis pas là. Je sais que tu adores mes fesses.

Tu la regarde les yeux aussi rieurs que vitreux après tout ce que tu as fumé dans la journée. Mais enfin elle s’approche de toi et tu es le plus heureux. Même si son premier geste est de t’enlever le bâton de nicotine et d’herbe de la bouche. Ce qui est vite pardonnée au vue du geste qu’elle fait par la suite. Pour ne pas qu’elle t’échappe, tu l’attrapes par la taille et la poses sur tes genoux avant d’enfouir ton visage dans ses cheveux.

_ Alors ma belle, tu as passé une bonne journée ?
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Dernière édition par Gabriel Callaghan le Sam 30 Jan - 16:24, édité 1 fois
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Sujet: Re: gabrilena + steady love, so few come and don't go.
gabrilena +  steady love, so few come and don't go. Empty Jeu 28 Jan - 18:45

Steady love, so few come and don't go
Tu t’attendais à sa présence ici, au sourire qui étire ses lèvres et qui, à fortiori, éveille le tien. C’est devenu une habitude, un fait évident, une logique implacable. Un peu comme cette drôle de manie que t’as de boire un verre de lait à chaque fois que tu manges un morceau de chocolat. Gabriel, c’est ton habitude. Pour rien au monde tu ne voudrais qu’il en soit autrement, parce que ça te fait du bien qu’il soit là. Il te rassure, de contente, de la façon la plus évidente qui soit. Pourtant, tu souhaiterais volontiers que le contexte soit tout autre. T’aimes à croire qu’il n’a pas passé la totalité de sa journée ici, à enchaîner les cigarettes et les joints, à se défoncer l’esprit, à s’envoyer la tête en l’air. Naïvement – trop naïvement peut-être –  t’as toujours l’espoir qu’il se ressaisisse enfin, au moins une fois. Pour toi. Mais t’es qui toi, hein ? T’en viens à te dire que tu n’as aucune espèce d’importance pour lui, ou du moins, aucune qui ne soit assez conséquente pour avoir un quelconque impact sur ses agissements destructeurs. Ça pourrit ton âme autant que la sienne. Ça t’envahie l’esprit et ça ne te quitte plus. Tu passes ton temps à être désolée pour lui, à être inquiète pour lui, à avoir peur pour lui. Aussi, ce n’est qu’un sourire timide que tu arbores lorsque tu entends enfin le son de sa voix. « C’est moi-même. » Lui-même, et le brouillard de nicotine – ou d’autre chose d’ailleurs – qui va avec. Mais comment pourrais-tu lui reprocher ? Après tout, « il n’a pas fait gaffe ». Si seulement ce simple petit détail pouvait tout changer. Mais ce n’est pas le cas, notamment parce que le problème, c’est là qu’il se cache en grande partie. Non, il ne fait pas gaffe. Il ne fait pas attention. Il ne se pose pas de questions. Il a l’insouciance d’un enfant et l’inconséquence d’un adolescent. Il s’en moque. Et toi, ça te fait trop mal pour avoir la présence d’esprit de répliquer. Tu te contentes de le regarder avec insistance, si longtemps que tu te demandes finalement si ton regard ne s’est pas perdu dans le vide avant que tu ne t’en rendes réellement compte. Tu ignores même si tu réfléchis à quelque chose ou s’il s’agit simplement d’une façon bien à toi d’anesthésier ton cerveau l’espace de quelques secondes. Et puis finalement, tu le regardes à nouveau. Et tu le trouves beau, c’est vrai. Et tu te souviens de toutes ces raisons qui font que tu l’aimes. Pourquoi faudrait-il les gâcher si bêtement ? Et le temps d’une minute, t’as peur. Tu passes soixante putains de secondes à avoir peur. Peur que rien ne change… sauf toi. « C’est pour te laisser un souvenir quand je ne suis pas là. Je sais que tu adores mes fesses. » Il te faut un certain laps de temps avant d’émerger de tes pensées et de comprendre de quoi il te parle. Pourtant, sans même pouvoir te contrôler, tu lâches un rire, léger mais sincère. Parce que par-dessus tout, tu passes ton temps à l’aimer. Encore. Tu aimes cet éternel éclat narquois dans ses yeux noisettes. Tu aimes son nez qui se plisse quand il rit. Tu aimes son sourire empli de malice. « T’es bête ! » tu glisses au creux d’un rire avant de lui frapper gentiment l’épaule. « Alors ma belle, tu as passé une bonne journée ? » « Bonne… mais longue. Je crois qu’en ce moment, j’ai le cerveau en surcharge cognitive. Ça cogite trop là-haut. » Pour les cours, pour ton avenir. Mais pas uniquement. Tu hésites à lui retourner la question ; tu mentirais en affirmant que tu n’as pas peur d’entendre l’éternelle même réponse. Mais qu’importe, tu la connais déjà celle-là. T’es plus vraiment à ça près en réalité. « Et toi ? » tu le questionnes finalement d’une voix hésitante. « Tu… t’as fais quoi ? » Y a-t-il réellement une chance pour qu’il te dise qu’il vient tout juste de rentrer d’une journée de cours épuisante mais intense au cours de laquelle il aurait appris un tas de choses ? Y a-t-il réellement une chance pour qu’il te dise que ces vingt-quatre heures lui ont permis de réfléchir sur sa vie, de se remettre en question et de se rendre compte que toutes ces conneries n’ont plus aucun sens, qu’il est enfin temps de changer ? T’y crois, toi ? Il y a cette petite voix dans ta tête qui se demande comment est-ce que tu peux être aussi naïve. Et toi tu te contentes de la contredire pour toi-même, en souriant à Gabriel. Simplement.
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